Bio de Charlie/Nash
Profil :
Un lieutenant de l’US Air Force. Devant la corruption de l’Etat-major, il décida d’enquêter en solitaire, mais quand les gradés à la solde de Shadaloo eurent vent de ses manoeuvres, il fut affecté à la surveillance d’un dépôt d’armes et de munitions en rase campagne.
Taille : 1m 86.
Poids : 84 kg.
Mensurations : B112, W81, H87.
Groupe sanguin : AB.
Né aux : Etats-Unis.
Talent particulier : maintenance d’avions de chasse, psychologie.
Aime : la justice, le scotch.
N’aime pas : l’injustice.
Technique de combat :
C’est un artiste martial (versé dans les techniques de combat militaires), également en charge de l’entraînement des recrues. Au cours de sa carrière, il a remporté le championnat des arts martiaux d’Amérique et a incorporé de spectaculaires techniques de catch en guise de prises de finition. Qui peut se douter, à son visage impassible,, que ses jambes puissantes, fruit de longues et difficiles heures d’entraînement, lui permettent d’enchaîner les “somersault kicks”.
Goûts vestimentaires :
Il arbore des cheveux coupés à ras de type “crew cut”*, et un gilet pare-balles. Les lunettes qu’il porte parfois comme accessoire de mode lui donnent un petit air intellectuel, peut-être dû à son passé de chercheur universitaire en biologie. Les “dog tags” (plaque d’identité) qui pendent à son cou et la montre militaire à son poignet montrent qu’il est toujours prêt à partir au front.
* pas très réglementaire, mais si c’est Capcom qui le dit…
Traduction maison
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Re: Traduction maison
Yahou Yaoi, youpi yuri.
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Re: Traduction maison
Stage de Charlie/Nash
Hangar Francfort (USA)
La jeune femme me tendit une photographie.
C’était une vue d’avion. On y voyait des constructions ressemblant à des ruines au coeur de la jungle.
“Rien n’est gratuit dans ce bas-monde, à commencer par l’information. J’imagine que vous attendez une “compensation” ?”
“On ne peut rien vous cacher.”
Elle parlait un anglais parfait. Une asiatique, chinoise peut-être.
Elle passerait pour une simple adolescente, sans son badge d’interpol et le regard perçant qui allait avec.
“Et pourquoi moi au juste ?”
“Pas le temps pour ça. Nous avons un but commun. Par conséquent, nous devons unir nos efforts pour compenser nos faiblesses. Bien sûr, cela ne dépend que de vous.”
“Vraiment ? Vous ne manquez pas d’un certain culot. Et je voudrais bien savoir comment diable vous êtes entrée ici.”
La jeune femme sourit.
“Ce n’était pas bien sorcier. Belles sentinelles en vérité !”
Elle avait, semble-t-il, fait croire au garde à l’entrée que je sortais avec une poupée de Chine. Qu’on lui donne l’Oscar !
“...Donc ? Qu’attendez-vous de moi ?” demandai-je.
Je ne parvenais pas encore à saisir les véritables intentions de cette demoiselle.
“La mobilité. Si j’en crois ma petite enquête, vous disposez dans cette base de Francfort de 2 chasseurs Hornet, 1 Intruder, et 6 Apaches. Tous prêts à décoller pour le front, munitions et carburant compris.”
Sacré bout de femme ! J’en restai bouche-bée.
En fin de compte, cette “enquêtrice” à peine sortie de l’oeuf faisait aussi montre d’une audace qui confinait à l’absence de tout sens commun.
“J’ai suivi moi-même la piste de ces narcotrafiquants. Puis j’ai inspecté les lieux de fond en comble. Cette région a connu de violents affrontements et n’a été démilitarisée que récemment. Il est anormal que de tels vestiges soient restés ainsi, sans le moindre dommage. Il y a de fortes chances que nous soyons en présence de la base souterraine de “Shadaloo”, que nous ne parvenions pas à localiser malgré tous les moyens mis en oeuvre.”
“Et vous comptez vous y rendre toute seule ?!”
“Non… Nous serons au moins deux. Vous et moi.”
C’en était trop pour moi : j’éclatai de rire. Toute cette histoire n’était qu’une vaste blague. A votre avis, quelles étaient mes chances sur un milliard de trouver un partenaire pour une telle opération ?
J’avais pris ma décision. Quitte à risquer sa peau, autant le faire en équipe.
“Il y a un détail qui vous a échappé dans vos investigations. …Venez.”
Incitant la jeune femme à me suivre, je quittai la pièce. Nous descendîmes un escalier étroit menant au sous-sol du hangar. Là, j’ouvris une trappe métallique, dissimulée par des caisses en bois. Nous descendîmes plus bas encore.
La jeune femme poussa un cri de surprise : “Mais ce sont !...”. J’allumai la lumière et lui dis :
“Ce sont des Harrier de fabrication anglaise. Il y en a 4 en tout. L’ancien responsable de cette base les avait commandés auprès d’un courtier en armes*. L’Etat-Major m’a affecté à ce poste, probablement dans l’idée de me les faire mettre au rebut, et de m’y mettre ensuite. Alors autant retourner contre eux leurs propres armes !”
La jeune femme se retourna vers moi, des étoiles dans les yeux, et me tendit la main.
“Permettez-moi de refaire les présentations : je suis Chun Li, le mouton noir d’interpol !”
“Je suis le sous-lieutenant Nash. Et je ne suis pas certain de le rester une fois cette opération terminée !”
Nos regards se croisèrent, et nos rires résonnèrent de concert.
Source version anglaise : https://www.reddit.com/r/translator/com ... s_alpha_3/
* Charlie laisse peut-être entendre ici que l’acquisition de ces appareils n’était pas 100% légale (détournement du précédent responsable ?) : https://www.amnesty.fr/focus/courtier
Hangar Francfort (USA)
La jeune femme me tendit une photographie.
C’était une vue d’avion. On y voyait des constructions ressemblant à des ruines au coeur de la jungle.
“Rien n’est gratuit dans ce bas-monde, à commencer par l’information. J’imagine que vous attendez une “compensation” ?”
“On ne peut rien vous cacher.”
Elle parlait un anglais parfait. Une asiatique, chinoise peut-être.
Elle passerait pour une simple adolescente, sans son badge d’interpol et le regard perçant qui allait avec.
“Et pourquoi moi au juste ?”
“Pas le temps pour ça. Nous avons un but commun. Par conséquent, nous devons unir nos efforts pour compenser nos faiblesses. Bien sûr, cela ne dépend que de vous.”
“Vraiment ? Vous ne manquez pas d’un certain culot. Et je voudrais bien savoir comment diable vous êtes entrée ici.”
La jeune femme sourit.
“Ce n’était pas bien sorcier. Belles sentinelles en vérité !”
Elle avait, semble-t-il, fait croire au garde à l’entrée que je sortais avec une poupée de Chine. Qu’on lui donne l’Oscar !
“...Donc ? Qu’attendez-vous de moi ?” demandai-je.
Je ne parvenais pas encore à saisir les véritables intentions de cette demoiselle.
“La mobilité. Si j’en crois ma petite enquête, vous disposez dans cette base de Francfort de 2 chasseurs Hornet, 1 Intruder, et 6 Apaches. Tous prêts à décoller pour le front, munitions et carburant compris.”
Sacré bout de femme ! J’en restai bouche-bée.
En fin de compte, cette “enquêtrice” à peine sortie de l’oeuf faisait aussi montre d’une audace qui confinait à l’absence de tout sens commun.
“J’ai suivi moi-même la piste de ces narcotrafiquants. Puis j’ai inspecté les lieux de fond en comble. Cette région a connu de violents affrontements et n’a été démilitarisée que récemment. Il est anormal que de tels vestiges soient restés ainsi, sans le moindre dommage. Il y a de fortes chances que nous soyons en présence de la base souterraine de “Shadaloo”, que nous ne parvenions pas à localiser malgré tous les moyens mis en oeuvre.”
“Et vous comptez vous y rendre toute seule ?!”
“Non… Nous serons au moins deux. Vous et moi.”
C’en était trop pour moi : j’éclatai de rire. Toute cette histoire n’était qu’une vaste blague. A votre avis, quelles étaient mes chances sur un milliard de trouver un partenaire pour une telle opération ?
J’avais pris ma décision. Quitte à risquer sa peau, autant le faire en équipe.
“Il y a un détail qui vous a échappé dans vos investigations. …Venez.”
Incitant la jeune femme à me suivre, je quittai la pièce. Nous descendîmes un escalier étroit menant au sous-sol du hangar. Là, j’ouvris une trappe métallique, dissimulée par des caisses en bois. Nous descendîmes plus bas encore.
La jeune femme poussa un cri de surprise : “Mais ce sont !...”. J’allumai la lumière et lui dis :
“Ce sont des Harrier de fabrication anglaise. Il y en a 4 en tout. L’ancien responsable de cette base les avait commandés auprès d’un courtier en armes*. L’Etat-Major m’a affecté à ce poste, probablement dans l’idée de me les faire mettre au rebut, et de m’y mettre ensuite. Alors autant retourner contre eux leurs propres armes !”
La jeune femme se retourna vers moi, des étoiles dans les yeux, et me tendit la main.
“Permettez-moi de refaire les présentations : je suis Chun Li, le mouton noir d’interpol !”
“Je suis le sous-lieutenant Nash. Et je ne suis pas certain de le rester une fois cette opération terminée !”
Nos regards se croisèrent, et nos rires résonnèrent de concert.
Source version anglaise : https://www.reddit.com/r/translator/com ... s_alpha_3/
* Charlie laisse peut-être entendre ici que l’acquisition de ces appareils n’était pas 100% légale (détournement du précédent responsable ?) : https://www.amnesty.fr/focus/courtier
Yahou Yaoi, youpi yuri.