"Dans l'Antiquité, les Grecs donnent un premier sens politique au mot Europe lorsqu'ils sont confrontés aux invasions venant d'Asie, principalement lors des guerres avec l'empire perse. Selon Jacqueline de Romilly, "la victoire de Salamine a bel et bien empêché la Grèce de basculer sous la coupe de l'Asie (...) les Grecs ont eu alors pour la première fois le sentiment de défendre une civilisation contre une autre." "Eschyle, dans sa tragédie Les Perses a bien mis en valeur comme Hérodote une donnée fondamentale : "Les grecs se régissent eux-mêmes et n'obéissent qu'à une loi tandis que les peuples asiatiques sont soumis à l'arbitraire d'un homme."
C'est sous les Carolingiens que l'on commence à considérer l'Europe comme une entité politique face à Byzance et aux pays musulmans : lors de la bataille de Poitiers en 732, les « gens d'Europe » s'opposent à leurs adversaires, Charlemagne est appelé le « phare de l'Europe », son petit-fils le « prince de l'Europe », le pape Jean VIII le « recteur de l'Europe » etc.
Selon John Hale, le mot « Europe » existait déjà avant le XVIe siècle pour désigner un continent distinct de l’Afrique et de l’Asie, mais il n’était connu que des lettrés."
« La réalité du racialisme allemand a été délibérément biaisée. Ça n’a jamais été un racialisme opposé aux autres races. C’était un racialisme pro-allemand. Le racialisme allemand signifiait redécouvrir les valeurs créatives de sa propre race, redécouvrir sa culture. C’était une quête pour l’excellence, une idée noble. Le racialisme national-socialiste n’était pas une opposition aux autres races, c’était le fait d’œuvrer pour la défense et le bien de sa propre race, en souhaitant que toutes les autres races fassent la même chose pour elles-mêmes. »
Ted Malloch, futur ambassadeur US auprès de l'UE a écrit :On assiste à une révolution et je pense que même ceux d’entre nous qui soutiennent Trump et le Brexit sont surpris par la rapidité du changement. Rappelez-vous que l’Union européenne a été en partie la création des États-Unis, qui ont vu cela comme un moyen de maintenir la paix en Europe en utilisant la France comme contrepoids à l’Allemagne, avec une Angleterre qui jouait à contrecœur les intermédiaires. C’est pourquoi les présidents successifs des États-Unis ont tous soutenu cette institution corrompue, inefficace et antidémocratique. Et voilà que tout à coup, tout change.