Traduction maison
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Re: Traduction maison
Gôki
Profil :
Un combattant versé dans l’art du “Satsui no hadô”. Frère cadet de Gôken, le maître de Ryû et Ken. Il se désigne lui-même comme “le Maître absolu du poing”.
Taille : 1 m 78.
Poids : 80 kg.
Mensurations : B118 W84 H86.
Groupe sanguin : ?
Né à : ?
Talent particulier : ?
Aime : ?
N’aime pas : ?
Technique de combat :
Chacune de ses techniques déborde d’une puissance dévastatrice, et la terre tremble sous chacun de ses pas. En termes d’école de combat, il a suivi le même apprentissage que Ryû et Ken, mais il s‘est voué corps et âme au Satsui no hadô. Il en résulte des différences visibles dans sa façon de canaliser son énergie, ce qui lui permet de lancer plusieurs types de Hadôken depuis des positions variées. Se désignant comme rien moins que le Maître absolu du poing, il ne montrera pas la moindre faiblesse au combat.
Goûts vestimentaires :
On remarque au premier coup d’oeil la corde tressée, ceinte autour de ses reins, et sa coiffure aux cheveux en bataille, évoquant les Shitenno*, les quatre dieux gardiens du Bouddhisme. Deux bras aussi rudes que le roc sortent des emmanchures de son kimono, et dans son dos, telle la marque d’un dieu vengeur, son aura se manifeste sous la forme du caractère “天“(le ciel). Se pourrait-il qu’il porte ce grand chapelet autour de son cou afin de guider vers l’au-delà les âmes tourmentées de ceux qu’il a fait passer de vie à trépas ?
Source et version anglaise : https://www.reddit.com/r/translator/com ... onal_info/
*Sur les shitenno : https://fr.wikipedia.org/wiki/Quatre_Rois_c%C3%A9lestes
Profil :
Un combattant versé dans l’art du “Satsui no hadô”. Frère cadet de Gôken, le maître de Ryû et Ken. Il se désigne lui-même comme “le Maître absolu du poing”.
Taille : 1 m 78.
Poids : 80 kg.
Mensurations : B118 W84 H86.
Groupe sanguin : ?
Né à : ?
Talent particulier : ?
Aime : ?
N’aime pas : ?
Technique de combat :
Chacune de ses techniques déborde d’une puissance dévastatrice, et la terre tremble sous chacun de ses pas. En termes d’école de combat, il a suivi le même apprentissage que Ryû et Ken, mais il s‘est voué corps et âme au Satsui no hadô. Il en résulte des différences visibles dans sa façon de canaliser son énergie, ce qui lui permet de lancer plusieurs types de Hadôken depuis des positions variées. Se désignant comme rien moins que le Maître absolu du poing, il ne montrera pas la moindre faiblesse au combat.
Goûts vestimentaires :
On remarque au premier coup d’oeil la corde tressée, ceinte autour de ses reins, et sa coiffure aux cheveux en bataille, évoquant les Shitenno*, les quatre dieux gardiens du Bouddhisme. Deux bras aussi rudes que le roc sortent des emmanchures de son kimono, et dans son dos, telle la marque d’un dieu vengeur, son aura se manifeste sous la forme du caractère “天“(le ciel). Se pourrait-il qu’il porte ce grand chapelet autour de son cou afin de guider vers l’au-delà les âmes tourmentées de ceux qu’il a fait passer de vie à trépas ?
Source et version anglaise : https://www.reddit.com/r/translator/com ... onal_info/
*Sur les shitenno : https://fr.wikipedia.org/wiki/Quatre_Rois_c%C3%A9lestes
Yahou Yaoi, youpi yuri.
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Re: Traduction maison
Complètement énorme la traduction, j'adore le style de l'écriture !
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Re: Traduction maison
Merci ! En fait, la réécriture, c'est le plus gros du travail, plus que la traduction en elle-même.
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Re: Traduction maison
Stage
Grotte d’Onikiba (le Croc du Démon)
L’averse est violente, comme à l’accoutumée. L’eau boueuse coule à torrents à mes pieds.
Avec cette bruine qui enveloppe tout comme un brouillard, je ne verrais pas à deux mètres sans ma lampe de poche, alors qu’il fait grand jour.
…Je suis pompier, et j’ai été assigné aujourd’hui à une équipe de recherche. Un enfant est porté disparu depuis avant-hier. Ses parents l’auraient perdu de vue alors qu’ils campaient.
Les bois sont denses par ici. Les flancs abrupts des montagnes sont couverts d’une jungle de sarments et d’herbes folles montant jusqu’aux épaules, qui restreignent le champ de vision. Mais pour tout dire, le plus grand danger reste encore la terre argileuse qui se dérobe subitement en falaises abruptes.
Il est possible que l’enfant se soit blessé quelque part dans le coin. Sans compter que le sol doit être friable avec les fortes pluies de la nuit dernière. Tout porte à croire qu’il a été victime d’un accident.
“Ohéééé !”
Mes appels disparaissent dans la brume, comme avalés par la montagne. Douze heures déjà se sont écoulées depuis le début des recherches et je suis, moi aussi, à bout de forces. Peut-être est-ce à cause de cela que, dans un moment d’inattention, je me prends les pieds dans la boue grasse et glisse le long de la pente. En voulant rattraper ma lampe qui menace de m’échapper des mains, je perds encore plus l’équilibre, et dévale la pente sur environ 10 mètres, mon bassin heurtant le sol à de multiples reprises.
Je me relève en pestant, et découvre un endroit étrange, semblable à une sorte de fosse. Les racines de gros arbres sont à nu dans cette faille causée par le glissement de terrain, faille qui semblait assez grande pour y faire tenir un homme adulte.
Au fond de cette crevasse… mon attention se porte sur une ouverture, semblable à une grotte.
L’enfant est là. Le gamin que nous cherchons se tient là, recroquevillé, dans cette caverne. L’espace d’un instant, j’imagine le pire. J’essaie de m’approcher de lui tout en évitant les racines. Il ne semble pas blessé. Je lui tends la main. Il tremble de froid.
“Eh, petit ! Est-ce que ça va ?”
“...Ou… oui...”
Parfait. Il a l’air sain et sauf.
“Partons d’ici. Ton père et ta mère sont morts d’inquiétude. Tu n’es pas blessé ?”
“Non… On m’a sauvé.”
“Hein ? Ah oui, bien sûr, monsieur pompier est là maintenant, tu n’as rien à craindre !”
“Non, non. C’est un monsieur qui ressemblait à un samurai qui m’a sauvé, hier.”
“Un samurai ?...”
“Vous voyez là-bas ? C’est la maison du monsieur samurai.”
Je jette un oeil au fond de la grotte où nous nous trouvions il y a quelques instants, et aperçois une faible lueur. Cette caverne semble si profonde. Mais qui diable peut bien vivre dans un endroit pareil ?
Soudain, un éclair zèbre le ciel avec un grondement de tonnerre.
Un gros arbre vient d’être frappé par la foudre juste sous nos yeux. Fendu en deux, le tronc commence à s’effondrer peu à peu avec des craquements sonores. D'instinct, je prends l’enfant dans mes bras et me jette à terre.
…Il n’y a plus un bruit, comme si le temps s’était arrêté.
Je me tourne lentement, et devant mes yeux se dresse une silhouette humaine, qui retient d’une seule main le tronc effondré. Et cette silhouette à elle seule irradie d’une étrange intensité.
Un oni. Un démon. Voilà la première image qui se forme dans mon esprit.
Aux yeux rouges étincelants sous ses cheveux noués.
Il est si intimidant que mon visage reste figé, comme ça, sous la pluie battante.
Le démon prit la parole.
“Si vous n’avez plus rien à faire ici… allez-vous en.”
Source et version anglaise : https://www.reddit.com/r/translator/com ... s_alpha_3/
Grotte d’Onikiba (le Croc du Démon)
L’averse est violente, comme à l’accoutumée. L’eau boueuse coule à torrents à mes pieds.
Avec cette bruine qui enveloppe tout comme un brouillard, je ne verrais pas à deux mètres sans ma lampe de poche, alors qu’il fait grand jour.
…Je suis pompier, et j’ai été assigné aujourd’hui à une équipe de recherche. Un enfant est porté disparu depuis avant-hier. Ses parents l’auraient perdu de vue alors qu’ils campaient.
Les bois sont denses par ici. Les flancs abrupts des montagnes sont couverts d’une jungle de sarments et d’herbes folles montant jusqu’aux épaules, qui restreignent le champ de vision. Mais pour tout dire, le plus grand danger reste encore la terre argileuse qui se dérobe subitement en falaises abruptes.
Il est possible que l’enfant se soit blessé quelque part dans le coin. Sans compter que le sol doit être friable avec les fortes pluies de la nuit dernière. Tout porte à croire qu’il a été victime d’un accident.
“Ohéééé !”
Mes appels disparaissent dans la brume, comme avalés par la montagne. Douze heures déjà se sont écoulées depuis le début des recherches et je suis, moi aussi, à bout de forces. Peut-être est-ce à cause de cela que, dans un moment d’inattention, je me prends les pieds dans la boue grasse et glisse le long de la pente. En voulant rattraper ma lampe qui menace de m’échapper des mains, je perds encore plus l’équilibre, et dévale la pente sur environ 10 mètres, mon bassin heurtant le sol à de multiples reprises.
Je me relève en pestant, et découvre un endroit étrange, semblable à une sorte de fosse. Les racines de gros arbres sont à nu dans cette faille causée par le glissement de terrain, faille qui semblait assez grande pour y faire tenir un homme adulte.
Au fond de cette crevasse… mon attention se porte sur une ouverture, semblable à une grotte.
L’enfant est là. Le gamin que nous cherchons se tient là, recroquevillé, dans cette caverne. L’espace d’un instant, j’imagine le pire. J’essaie de m’approcher de lui tout en évitant les racines. Il ne semble pas blessé. Je lui tends la main. Il tremble de froid.
“Eh, petit ! Est-ce que ça va ?”
“...Ou… oui...”
Parfait. Il a l’air sain et sauf.
“Partons d’ici. Ton père et ta mère sont morts d’inquiétude. Tu n’es pas blessé ?”
“Non… On m’a sauvé.”
“Hein ? Ah oui, bien sûr, monsieur pompier est là maintenant, tu n’as rien à craindre !”
“Non, non. C’est un monsieur qui ressemblait à un samurai qui m’a sauvé, hier.”
“Un samurai ?...”
“Vous voyez là-bas ? C’est la maison du monsieur samurai.”
Je jette un oeil au fond de la grotte où nous nous trouvions il y a quelques instants, et aperçois une faible lueur. Cette caverne semble si profonde. Mais qui diable peut bien vivre dans un endroit pareil ?
Soudain, un éclair zèbre le ciel avec un grondement de tonnerre.
Un gros arbre vient d’être frappé par la foudre juste sous nos yeux. Fendu en deux, le tronc commence à s’effondrer peu à peu avec des craquements sonores. D'instinct, je prends l’enfant dans mes bras et me jette à terre.
…Il n’y a plus un bruit, comme si le temps s’était arrêté.
Je me tourne lentement, et devant mes yeux se dresse une silhouette humaine, qui retient d’une seule main le tronc effondré. Et cette silhouette à elle seule irradie d’une étrange intensité.
Un oni. Un démon. Voilà la première image qui se forme dans mon esprit.
Aux yeux rouges étincelants sous ses cheveux noués.
Il est si intimidant que mon visage reste figé, comme ça, sous la pluie battante.
Le démon prit la parole.
“Si vous n’avez plus rien à faire ici… allez-vous en.”
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Re: Traduction maison
Balrog/Vega (matador)
Profil :
“La beauté avant tout”, tel est le crédo du Ninja espagnol. Il est connu dans le monde du combat clandestin sous le surnom de l’”aristocrate masqué”. Voyant de la beauté dans la puissance démesurée de Vega, il a accepté de s’allier provisoirement à Shadaloo (pour rechercher Cammy.
Taille : 1 m 86
Poids : 72 kg
Mensurations : B121, W73, H83
Groupe sanguin : O
Né en : Espagne
Talent particulier : narcissisme, ramper sur les murs.
Aime : tout ce qui est beau, lui-même.
N’aime pas : tout ce qui est laid, être aspergé du sang de ses victimes.
Technique de combat :
Comme on peut s’y attendre d’un homme qui a pris pour nom d’arène “l’aristocrate masqué”, son style est flamboyant et élégant. En bondissant depuis les quatre coins de l’arène ou en tirant parti du grillage, il surprend son adversaire en fondant sur lui depuis les airs. La grâce mortelle de ses techniques se base sur sa propre réinterprétation du ninjutsu. Alors qu’il n’était qu’un tout jeune garçon, son père, un homme repoussant, assassina sa mère, qui était d’une grande beauté. Traumatisé par ce crime, c’est en faisant une longue et ignoble boucherie de ses malheureux adversaires qu’il trouve la paix de l’esprit.
Goûts vestimentaires :
La ceinture écarlate qui ceint ses reins rappelle la pièce de tissu agitée par les matador (la Muleta). Le tatouage de serpent sur son épaule symbolise son ressentiment, et sa griffe dorée est l’incarnation même du raffinement de ses techniques. Son masque dénué de toute expression, en plus de protéger les traits réguliers de son visage, servirait aussi à le dissimuler quand la colère ou la douleur le déforme.
Source et version anglaise : https://www.reddit.com/r/translator/com ... _personal/
Profil :
“La beauté avant tout”, tel est le crédo du Ninja espagnol. Il est connu dans le monde du combat clandestin sous le surnom de l’”aristocrate masqué”. Voyant de la beauté dans la puissance démesurée de Vega, il a accepté de s’allier provisoirement à Shadaloo (pour rechercher Cammy.
Taille : 1 m 86
Poids : 72 kg
Mensurations : B121, W73, H83
Groupe sanguin : O
Né en : Espagne
Talent particulier : narcissisme, ramper sur les murs.
Aime : tout ce qui est beau, lui-même.
N’aime pas : tout ce qui est laid, être aspergé du sang de ses victimes.
Technique de combat :
Comme on peut s’y attendre d’un homme qui a pris pour nom d’arène “l’aristocrate masqué”, son style est flamboyant et élégant. En bondissant depuis les quatre coins de l’arène ou en tirant parti du grillage, il surprend son adversaire en fondant sur lui depuis les airs. La grâce mortelle de ses techniques se base sur sa propre réinterprétation du ninjutsu. Alors qu’il n’était qu’un tout jeune garçon, son père, un homme repoussant, assassina sa mère, qui était d’une grande beauté. Traumatisé par ce crime, c’est en faisant une longue et ignoble boucherie de ses malheureux adversaires qu’il trouve la paix de l’esprit.
Goûts vestimentaires :
La ceinture écarlate qui ceint ses reins rappelle la pièce de tissu agitée par les matador (la Muleta). Le tatouage de serpent sur son épaule symbolise son ressentiment, et sa griffe dorée est l’incarnation même du raffinement de ses techniques. Son masque dénué de toute expression, en plus de protéger les traits réguliers de son visage, servirait aussi à le dissimuler quand la colère ou la douleur le déforme.
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Re: Traduction maison
Je ne connaissais pas le détail sur ses parents, super info !
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Re: Traduction maison
Le mec c'est Dio Brando en fait...
nobody akuma kills stays dead now.
that guy is gonna get a complex . -Mr List from SRK
Les aberrations de gameplay : Psycho qui fait des loops avec Oro. Evilryu
"bon, il reste 1/4 d'heure, ce sera vite torché : je vous prend chacun un match à 3.2, histoire vous mettre une branlée chacun !"
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Re: Traduction maison
Jojo et Street Fighter, une looooongue histoire d'amour !
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Re: Traduction maison
Stage de Vega/Balrog. Peut-être un de mes textes préférés ! Beau comme une fic yaoi de Clive Barker !
Tour en colimaçon de Requena
Vous savez, par ici, il y a un endroit que l’on surnomme “La tour aux roses maudites”. Et pourtant, à la voir, on sent que le seigneur qui jadis possédait ces terres n’avait pas regardé à la dépense pour la construire.
Des roses poussaient bien sûr autour de l’édifice sans que s’y mêla la main de l’homme. L’apothicaire au service du seigneur les cueillait pour concocter une sorte de remède fortifiant. Celui-ci fut bientôt célèbre sous le nom d’“élixir de jouvence miraculeux”, et on dit même que certains pouvaient venir de fort loin dans le seul but de se le procurer.
Mais une année survinrent de mystérieuses intempéries qui frappèrent le pays tout entier, et décimèrent les roses.
Le seigneur, craignant de tomber à court de remède, ordonna à son apothicaire de les récolter toutes. Mais même cette quantité ne semblait suffire à étancher, ne serait-ce qu’à demi, la soif du seigneur. Tant et si bien que l’apothicaire, la mort dans l’âme, se résolut à diluer son breuvage avec du colorant.
Le seigneur découvrit la supercherie. Soupçonné à tort, je cite, d’”avoir dissimulé de l’élixir pour son usage personnel”, l’apothicaire finit sur l’échafaud.
Dès l’année suivante, les roses s’épanouirent, comme auparavant. Mais quand un autre apothicaire prépara le fortifiant, celui-ci, au lieu de restaurer la jeunesse, se transforma en poison, provoquant de fortes fièvres dont la cause demeurait inconnue.
Frappé par ce mal, le corps du seigneur se couvrit tout entier de plaies innombrables, semblables à des piqûres d’épines, et mourut d’hémorragie…
Depuis cette époque, la malédiction de l’apothicaire exécuté et du seigneur mort prématurément se serait transmise sans faiblir dans les roses de cette tour. Et à y regarder de plus près, leur teinte rouge sombre évoque assurément celle du sang… Il n’y a peut-être pas que de simples racontars là-dedans !
“Balivernes !”
J’avais eu le malheur de m’attarder auprès de ce vieux barman aux allures de pipelette, et voilà maintenant plus de 20 minutes qu’il me débitait sans répit ses histoires d’épouvante.
Je quittai son enseigne et dirigeai mes pas vers le sommet de la colline. Le ciel était gris, mais il ne faisait pas froid. Le vent était curieusement tiède.
L’heure du rendez-vous approchait. J’avais pris le premier bateau pour cette ville, dès qu’on m’avait vendu l’info qu’il s’y tiendraient des combats clandestins.
Sans vouloir me vanter, je me défendais pas mal. Dans le temps, j’avais même atteint le 20e rang mondial de kick-boxing. Mais avec la crise, la poisse, etc, je n’étais maintenant pas loin de la misère noire. Match illégal ou pas, j'avais bien l’intention de gagner vite et gros ici.
J’arrivai au pied de la tour. Je jetai un oeil aux alentours. Voilà donc les fameuses roses de la légende ?
Tout à coup, un homme chuta sur leurs corolles épanouies.
Il était couvert de sang. Mais les épines de roses n’y étaient pour rien. D’innombrables entailles, aussi nettes que profondes, lacéraient son corps. L’homme ensanglanté tenta de se redresser à demi et tendit le bras, mais, à bout de forces, il ne bougea bientôt plus. Pétales et feuilles, goutte après goutte, se constellaient de sang.
Du haut de la tour, un regard hautain surplombait les haies de roses.
“Viens à moi… Je t’attendais.”
Un frisson me parcourut l’échine. Un masque blanc. Quelque chose brillait à sa main… comme une sorte de griffe. J’étais comme cloué sur place, incapable de bouger un muscle.
Puis un sentiment des plus étranges m’envahit. Cet homme et la tour, le rouge des roses et celui du sang… Ce spectacle, à mesure que je le contemplais, fasciné, s’imposait à moi comme l’image même de la beauté.
Etait-ce une terreur instinctive ? Le pressentiment d’une mort inéluctable ? Mes pas chancelants me portaient déjà vers la tour.
Source et version anglaise : https://www.reddit.com/r/translator/com ... s_alpha_3/
Tour en colimaçon de Requena
Vous savez, par ici, il y a un endroit que l’on surnomme “La tour aux roses maudites”. Et pourtant, à la voir, on sent que le seigneur qui jadis possédait ces terres n’avait pas regardé à la dépense pour la construire.
Des roses poussaient bien sûr autour de l’édifice sans que s’y mêla la main de l’homme. L’apothicaire au service du seigneur les cueillait pour concocter une sorte de remède fortifiant. Celui-ci fut bientôt célèbre sous le nom d’“élixir de jouvence miraculeux”, et on dit même que certains pouvaient venir de fort loin dans le seul but de se le procurer.
Mais une année survinrent de mystérieuses intempéries qui frappèrent le pays tout entier, et décimèrent les roses.
Le seigneur, craignant de tomber à court de remède, ordonna à son apothicaire de les récolter toutes. Mais même cette quantité ne semblait suffire à étancher, ne serait-ce qu’à demi, la soif du seigneur. Tant et si bien que l’apothicaire, la mort dans l’âme, se résolut à diluer son breuvage avec du colorant.
Le seigneur découvrit la supercherie. Soupçonné à tort, je cite, d’”avoir dissimulé de l’élixir pour son usage personnel”, l’apothicaire finit sur l’échafaud.
Dès l’année suivante, les roses s’épanouirent, comme auparavant. Mais quand un autre apothicaire prépara le fortifiant, celui-ci, au lieu de restaurer la jeunesse, se transforma en poison, provoquant de fortes fièvres dont la cause demeurait inconnue.
Frappé par ce mal, le corps du seigneur se couvrit tout entier de plaies innombrables, semblables à des piqûres d’épines, et mourut d’hémorragie…
Depuis cette époque, la malédiction de l’apothicaire exécuté et du seigneur mort prématurément se serait transmise sans faiblir dans les roses de cette tour. Et à y regarder de plus près, leur teinte rouge sombre évoque assurément celle du sang… Il n’y a peut-être pas que de simples racontars là-dedans !
“Balivernes !”
J’avais eu le malheur de m’attarder auprès de ce vieux barman aux allures de pipelette, et voilà maintenant plus de 20 minutes qu’il me débitait sans répit ses histoires d’épouvante.
Je quittai son enseigne et dirigeai mes pas vers le sommet de la colline. Le ciel était gris, mais il ne faisait pas froid. Le vent était curieusement tiède.
L’heure du rendez-vous approchait. J’avais pris le premier bateau pour cette ville, dès qu’on m’avait vendu l’info qu’il s’y tiendraient des combats clandestins.
Sans vouloir me vanter, je me défendais pas mal. Dans le temps, j’avais même atteint le 20e rang mondial de kick-boxing. Mais avec la crise, la poisse, etc, je n’étais maintenant pas loin de la misère noire. Match illégal ou pas, j'avais bien l’intention de gagner vite et gros ici.
J’arrivai au pied de la tour. Je jetai un oeil aux alentours. Voilà donc les fameuses roses de la légende ?
Tout à coup, un homme chuta sur leurs corolles épanouies.
Il était couvert de sang. Mais les épines de roses n’y étaient pour rien. D’innombrables entailles, aussi nettes que profondes, lacéraient son corps. L’homme ensanglanté tenta de se redresser à demi et tendit le bras, mais, à bout de forces, il ne bougea bientôt plus. Pétales et feuilles, goutte après goutte, se constellaient de sang.
Du haut de la tour, un regard hautain surplombait les haies de roses.
“Viens à moi… Je t’attendais.”
Un frisson me parcourut l’échine. Un masque blanc. Quelque chose brillait à sa main… comme une sorte de griffe. J’étais comme cloué sur place, incapable de bouger un muscle.
Puis un sentiment des plus étranges m’envahit. Cet homme et la tour, le rouge des roses et celui du sang… Ce spectacle, à mesure que je le contemplais, fasciné, s’imposait à moi comme l’image même de la beauté.
Etait-ce une terreur instinctive ? Le pressentiment d’une mort inéluctable ? Mes pas chancelants me portaient déjà vers la tour.
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Re: Traduction maison
Bio de Blanka !
Profil :
Son vrai nom est Jimmy. Alors qu’il n’était qu’un enfant, il fut séparé de ses parents quand son avion s’écrasa suite à une attaque terroriste de Shadaloo. La vie solitaire dans l’enfer vert lui donna l’apparence d’une bête sauvage. Quelques années après le crash, sa curiosité grandissante pour le monde au-delà de sa jungle impénétrable l’amena à faire ses premiers pas en ville.
Taille : 1m92
Poids : 98 kg
Mensurations : B198, W120, H172
Groupe sanguin : B
Pays : Brésil
Talent particulier : chasser, générer des décharges électriques
Aime : les fruits tropicaux, les Pirarucu*
N’aime pas : les fourmis légionnaires
Technique de combat :
Ses muscles, forgés au coeur de l’Amazonie, lui permettent d’effectuer sans peine ses mouvements si caractéristiques. Grâce à son explosivité, il peut se mettre en boule et se propulser instantanément dans les airs, et ses combats répétés contre les anguilles électriques l’ont amené à assimiler leur capacité à produire des décharges. On peut dire que l’éventail de ses techniques déborde de férocité. Enfin, il ne perd jamais de vue son adversaire, aussi agile soit-il, de par son excellente vision cinétique.
Goûts vestimentaires :
Parce qu’il a vécu de longues années dans les broussailles d’une terre sauvage, ses cheveux et sa pilosité ont poussé de même. Avec le temps, sa peau a pris une couleur verte pour se fondre dans son environnement proche. On pourrait voir son short comme un souvenir qu’il garde de sa vie d’humain. Cependant, il est incapable de s’exprimer dans un langage articulé. Les bracelets à ses chevilles étaient un cadeau de sa famille pour son anniversaire.
Source et version anglaise : https://www.reddit.com/r/translator/com ... onal_info/
* Vous voyez le poisson gigantesque dans son stage de SF2 ? Eh bien c’en est un !
Profil :
Son vrai nom est Jimmy. Alors qu’il n’était qu’un enfant, il fut séparé de ses parents quand son avion s’écrasa suite à une attaque terroriste de Shadaloo. La vie solitaire dans l’enfer vert lui donna l’apparence d’une bête sauvage. Quelques années après le crash, sa curiosité grandissante pour le monde au-delà de sa jungle impénétrable l’amena à faire ses premiers pas en ville.
Taille : 1m92
Poids : 98 kg
Mensurations : B198, W120, H172
Groupe sanguin : B
Pays : Brésil
Talent particulier : chasser, générer des décharges électriques
Aime : les fruits tropicaux, les Pirarucu*
N’aime pas : les fourmis légionnaires
Technique de combat :
Ses muscles, forgés au coeur de l’Amazonie, lui permettent d’effectuer sans peine ses mouvements si caractéristiques. Grâce à son explosivité, il peut se mettre en boule et se propulser instantanément dans les airs, et ses combats répétés contre les anguilles électriques l’ont amené à assimiler leur capacité à produire des décharges. On peut dire que l’éventail de ses techniques déborde de férocité. Enfin, il ne perd jamais de vue son adversaire, aussi agile soit-il, de par son excellente vision cinétique.
Goûts vestimentaires :
Parce qu’il a vécu de longues années dans les broussailles d’une terre sauvage, ses cheveux et sa pilosité ont poussé de même. Avec le temps, sa peau a pris une couleur verte pour se fondre dans son environnement proche. On pourrait voir son short comme un souvenir qu’il garde de sa vie d’humain. Cependant, il est incapable de s’exprimer dans un langage articulé. Les bracelets à ses chevilles étaient un cadeau de sa famille pour son anniversaire.
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* Vous voyez le poisson gigantesque dans son stage de SF2 ? Eh bien c’en est un !
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Re: Traduction maison
Stage de Blanka.
Rio Madeira (affluent de l’Amazone), marécages (Brésil)
Témoignage du chef d’une bande de braconniers arrêtée sur le rio Madeira :
“Depuis que je suis dans le métier, j’ai vu la mort en face plus souvent qu’à mon tour.
Mais l’autre jour, c’était différent.
Encore maintenant, quand j’y repense, je peux même pas dire si c’est vraiment arrivé.
Et pourtant… Alors voilà, on avait fait équipe pour remonter seuls la rivière, vu qu’on avait refusé de prendre un guide indigène. Ces sacrés indiens ne veulent jamais avancer dès que le coin commence à se montrer un tant soit peu dangereux… On a beau être bien armés, ne voir aucune menace à l’horizon, et ils chicanent pour continuer juste parce qu’ils le sentent pas.
Après ça… on a décidé de remonter le rio par la berge Nord. On était jamais passés par là avant. Il y a d’énormes picarurus à ferrer dans le secteur. Et des amateurs prêts à payer un bon paquet pour ça. Enfin je dis ça, j’avais jamais trempé dans ce genre de business avant, bien entendu…
…Comme il faisait déjà noir, nous avons monté un tour de garde sur le pont du bateau. Certaines proies ne peuvent être pêchées que la nuit, et on allait sûrement pas rentrer en ayant laissé filer une belle prise ! Si personne n’était encore jamais venu dans ce coin paumé, à coup sûr le poisson allait mordre à la chaîne !
Vers 3 heures du matin, j’ai entendu un drôle de clapotis, mais sur le coup, je n’y ai pas prêté attention. Maintenant que j’y repense, ça devait sûrement être lui, venu épier nos faits et gestes.
Le jour s’est levé, et nous avons continué à remonter le fleuve. Là, à environ 20 km en amont, on a aperçu comme une sorte de hutte couverte de feuillage et de branches d’arbre.
Ca crevait les yeux que cette “maison” était une construction humaine. On s’est bien demandé si y’avait un village indien dans un trou pareil, mais cette maison était la seule alentour. On ne voyait qu’elle sur la berge. On croyait être les premiers à mettre les pieds dans le secteur, et voilà que quelqu’un nous avait damés le pion !
Il n’y avait aucun signe de présence humaine en vue. Avec précaution et le doigt sur la gâchette, nous avons abordé sur la rive.
Il y avait comme un parfum de danger dans l’air. Tout était étrangement calme…
Et là, c’est venu d’un coup d’un seul. Au début, j’ai même cru qu’on s’était pris un coup de canon. Une trombe d’eau, et plaf ! Le bateau a commencé à chavirer. Y’a même deux gars qui sont passés par-dessus bord.
C’était un picaruru. Monstrueusement gros. Plus de 2 fois la taille normale. D’un coup, il a bondi à la surface.
Et pourtant… c’est après que j’ai vu le plus incroyable. Car il y avait en prime un type, en train de mordre à pleine dents dans le ventre de ce monstre.
Bon sang, comment le décrire ? Il avait la peau entièrement verte, les cheveux roux, un jean… Oui, je sais, quelle sorte de monstre se balade en jean ?
Mais je vous jure… c’est la pure vérité. Cette créature - je saurais pas dire si c’était un bonhomme ou une bête - cette créature, a envoyé valdinguer le pirarucu à la surface du rio.
Après ça, je me souviens plus trop… J’ai été paralysé, pile comme si je m’étais mangé une décharge électrique, et je suis tombé dans les pommes. J’ai vu des étincelles danser sous mes yeux, et puis le trou noir.
Vous connaissez la suite. Quand vous nous avez arrêtés, plus bas sur le rio, je vous ai vraiment vus comme des sauveurs.
…En tous cas, on est pas prêt de remettre les pieds dans un endroit pareil.
Ah, je sais, je sais ! De toute façon, nous ne pourrons plus aller nulle part puisque nous sommes à l’ombre ? Que voulez-vous, on a cru flairer la bonne combine !
J’aurai tout le temps d’y repenser au calme.
Source et version anglaise : https://www.reddit.com/r/translator/com ... a_3_story/
Rio Madeira (affluent de l’Amazone), marécages (Brésil)
Témoignage du chef d’une bande de braconniers arrêtée sur le rio Madeira :
“Depuis que je suis dans le métier, j’ai vu la mort en face plus souvent qu’à mon tour.
Mais l’autre jour, c’était différent.
Encore maintenant, quand j’y repense, je peux même pas dire si c’est vraiment arrivé.
Et pourtant… Alors voilà, on avait fait équipe pour remonter seuls la rivière, vu qu’on avait refusé de prendre un guide indigène. Ces sacrés indiens ne veulent jamais avancer dès que le coin commence à se montrer un tant soit peu dangereux… On a beau être bien armés, ne voir aucune menace à l’horizon, et ils chicanent pour continuer juste parce qu’ils le sentent pas.
Après ça… on a décidé de remonter le rio par la berge Nord. On était jamais passés par là avant. Il y a d’énormes picarurus à ferrer dans le secteur. Et des amateurs prêts à payer un bon paquet pour ça. Enfin je dis ça, j’avais jamais trempé dans ce genre de business avant, bien entendu…
…Comme il faisait déjà noir, nous avons monté un tour de garde sur le pont du bateau. Certaines proies ne peuvent être pêchées que la nuit, et on allait sûrement pas rentrer en ayant laissé filer une belle prise ! Si personne n’était encore jamais venu dans ce coin paumé, à coup sûr le poisson allait mordre à la chaîne !
Vers 3 heures du matin, j’ai entendu un drôle de clapotis, mais sur le coup, je n’y ai pas prêté attention. Maintenant que j’y repense, ça devait sûrement être lui, venu épier nos faits et gestes.
Le jour s’est levé, et nous avons continué à remonter le fleuve. Là, à environ 20 km en amont, on a aperçu comme une sorte de hutte couverte de feuillage et de branches d’arbre.
Ca crevait les yeux que cette “maison” était une construction humaine. On s’est bien demandé si y’avait un village indien dans un trou pareil, mais cette maison était la seule alentour. On ne voyait qu’elle sur la berge. On croyait être les premiers à mettre les pieds dans le secteur, et voilà que quelqu’un nous avait damés le pion !
Il n’y avait aucun signe de présence humaine en vue. Avec précaution et le doigt sur la gâchette, nous avons abordé sur la rive.
Il y avait comme un parfum de danger dans l’air. Tout était étrangement calme…
Et là, c’est venu d’un coup d’un seul. Au début, j’ai même cru qu’on s’était pris un coup de canon. Une trombe d’eau, et plaf ! Le bateau a commencé à chavirer. Y’a même deux gars qui sont passés par-dessus bord.
C’était un picaruru. Monstrueusement gros. Plus de 2 fois la taille normale. D’un coup, il a bondi à la surface.
Et pourtant… c’est après que j’ai vu le plus incroyable. Car il y avait en prime un type, en train de mordre à pleine dents dans le ventre de ce monstre.
Bon sang, comment le décrire ? Il avait la peau entièrement verte, les cheveux roux, un jean… Oui, je sais, quelle sorte de monstre se balade en jean ?
Mais je vous jure… c’est la pure vérité. Cette créature - je saurais pas dire si c’était un bonhomme ou une bête - cette créature, a envoyé valdinguer le pirarucu à la surface du rio.
Après ça, je me souviens plus trop… J’ai été paralysé, pile comme si je m’étais mangé une décharge électrique, et je suis tombé dans les pommes. J’ai vu des étincelles danser sous mes yeux, et puis le trou noir.
Vous connaissez la suite. Quand vous nous avez arrêtés, plus bas sur le rio, je vous ai vraiment vus comme des sauveurs.
…En tous cas, on est pas prêt de remettre les pieds dans un endroit pareil.
Ah, je sais, je sais ! De toute façon, nous ne pourrons plus aller nulle part puisque nous sommes à l’ombre ? Que voulez-vous, on a cru flairer la bonne combine !
J’aurai tout le temps d’y repenser au calme.
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Re: Traduction maison
Bio de Sodom Beaucoup de notes, mais difficile de faire autrement !
Profil :
L’un des chefs de Mad Gear, toqué du Japon. Piqué au vif par le refus catégorique de Guy de reconnaître son japonisme à sa juste valeur, il s’acharne à saisir le sens profond de “l’esprit Ouah-bi-zarbi*”.
Taille : 2 m 8.
Poids : 108 kg.
Mensurations : B148 W98 H103.
Groupe sanguin : A.
Né aux : USA.
Talent particulier : tours de magie aquatiques “mizugei”**, conduite de poids-lourds.
Aime : chercher le sens profond du “japonisme”, collectionner des “japonaiseries”.
N’aime pas : Guy.
Technique de combat :
Son style de combat misant tout sur la force, ses techniques se caractérisent par leur rudesse. Son amour toujours plus grand du Japon l’a conduit à maîtriser les Arts martiaux nippons, mais le résultat ne saute pas aux yeux. Il prononce des mots néfastes*** au moment de lancer une de ses attaques, afin, peut-être, d’infliger des dégâts spirituels à son adversaire. Induit en erreur par sa mauvaise compréhension de la culture japonaise, il en est venu à maîtriser bon nombre d’arts occultes et mystérieux.
Goûts vestimentaires :
Son accoutrement reflète sa vision erronée du Japon, ce que n’a pas manqué de pointer du doigt l’héritier du Bushinryû en personne (Guy). L’idéogramme bizarre sur sa poitrine semble mélanger les caractères du coeur (心) et de la mort (死), et dans ses mains, il tient des katanas ou des jitte, qu’il considère naïvement comme les symboles du Japon. Le casque de samurai qui recouvre entièrement sa tête empêche quiconque de connaître les traits de son visage, mais son allure ne laisse guère de doute sur son inextinguible soif de connaissance du Japon (?)
Source et version anglaise (notez que Sodom singe une pose de lutteur de sumô sur l’illustration !) : https://www.reddit.com/r/translator/com ... onal_info/
*Wabi-sabi : concept esthétique et philosophique issu du Zen, qui met l’accent sur la beauté de ce qui est “imparfait”, usé par la patine du temps… https://fr.wikipedia.org/wiki/Wabi-sabi
**Le mizugei est une forme de prestidigitation datant de l’époque d’Edo (1600-1868). Pensez à sa pose de victoire où il fait sortir un jet d’eau de son éventail ouvert. Démonstration ici :
https://www.youtube.com/watch?v=696NFQfklZ4
*** superstition issue de la voyance traditionnelle selon laquelle certains mots sont fastes ou néfastes de par leur prononciation, orthographe, etc. Le malentendu vient de ce que Sodom s’en sert comme on jette un mauvais sort alors qu’en réalité, ils déterminent surtout des périodes fastes ou néfastes dans l’année. Un peu comme si vous maudissiez votre voisin en criant : "Vendredi 13 !" Voir bio SFZ2 et note liée : https://www.journaldujapon.com/2021/06/10/rokuyo/ !"
Profil :
L’un des chefs de Mad Gear, toqué du Japon. Piqué au vif par le refus catégorique de Guy de reconnaître son japonisme à sa juste valeur, il s’acharne à saisir le sens profond de “l’esprit Ouah-bi-zarbi*”.
Taille : 2 m 8.
Poids : 108 kg.
Mensurations : B148 W98 H103.
Groupe sanguin : A.
Né aux : USA.
Talent particulier : tours de magie aquatiques “mizugei”**, conduite de poids-lourds.
Aime : chercher le sens profond du “japonisme”, collectionner des “japonaiseries”.
N’aime pas : Guy.
Technique de combat :
Son style de combat misant tout sur la force, ses techniques se caractérisent par leur rudesse. Son amour toujours plus grand du Japon l’a conduit à maîtriser les Arts martiaux nippons, mais le résultat ne saute pas aux yeux. Il prononce des mots néfastes*** au moment de lancer une de ses attaques, afin, peut-être, d’infliger des dégâts spirituels à son adversaire. Induit en erreur par sa mauvaise compréhension de la culture japonaise, il en est venu à maîtriser bon nombre d’arts occultes et mystérieux.
Goûts vestimentaires :
Son accoutrement reflète sa vision erronée du Japon, ce que n’a pas manqué de pointer du doigt l’héritier du Bushinryû en personne (Guy). L’idéogramme bizarre sur sa poitrine semble mélanger les caractères du coeur (心) et de la mort (死), et dans ses mains, il tient des katanas ou des jitte, qu’il considère naïvement comme les symboles du Japon. Le casque de samurai qui recouvre entièrement sa tête empêche quiconque de connaître les traits de son visage, mais son allure ne laisse guère de doute sur son inextinguible soif de connaissance du Japon (?)
Source et version anglaise (notez que Sodom singe une pose de lutteur de sumô sur l’illustration !) : https://www.reddit.com/r/translator/com ... onal_info/
*Wabi-sabi : concept esthétique et philosophique issu du Zen, qui met l’accent sur la beauté de ce qui est “imparfait”, usé par la patine du temps… https://fr.wikipedia.org/wiki/Wabi-sabi
**Le mizugei est une forme de prestidigitation datant de l’époque d’Edo (1600-1868). Pensez à sa pose de victoire où il fait sortir un jet d’eau de son éventail ouvert. Démonstration ici :
https://www.youtube.com/watch?v=696NFQfklZ4
*** superstition issue de la voyance traditionnelle selon laquelle certains mots sont fastes ou néfastes de par leur prononciation, orthographe, etc. Le malentendu vient de ce que Sodom s’en sert comme on jette un mauvais sort alors qu’en réalité, ils déterminent surtout des périodes fastes ou néfastes dans l’année. Un peu comme si vous maudissiez votre voisin en criant : "Vendredi 13 !" Voir bio SFZ2 et note liée : https://www.journaldujapon.com/2021/06/10/rokuyo/ !"
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Re: Traduction maison
Je voulais commenter la trad de Blanka mais j'étais à la campagne avec une demi-barre de réseau !
Super traduction, j'adore l'histoire des contrebandiers, encore une fois très japonaise (dans la vraie vie ils ne se seraient probablement jamais repentis voire seraient morts sur place par ego).
Super traduction, j'adore l'histoire des contrebandiers, encore une fois très japonaise (dans la vraie vie ils ne se seraient probablement jamais repentis voire seraient morts sur place par ego).
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Re: Traduction maison
Je pense aussi que le ton n'est pas très sérieux. Ce sont des forbans de cinéma, et puis Blanka leur a vraiment flanqué la frousse !veja a écrit : ↑lun. août 12, 2024 11:14 amJe voulais commenter la trad de Blanka mais j'étais à la campagne avec une demi-barre de réseau !
Super traduction, j'adore l'histoire des contrebandiers, encore une fois très japonaise (dans la vraie vie ils ne se seraient probablement jamais repentis voire seraient morts sur place par ego).
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Re: Traduction maison
Stage de Sodom :
Building de Manhattan, 48e étage (USA).
Au milieu des gratte-ciel plus resplendissants de lumière que la galaxie elle-même, une unique tour se détachait, telle un bloc laqué de noir.
Il émanait une aura sinistre de son étrange silhouette. Cet immeuble high-tech, vide de tout éclairage, semblait surgir de nulle-part, tel l’antichambre de l’enfer.
L’accident s’était produit six mois plus tôt. Les travaux de cet immeuble de Manhattan, destiné à devenir un complexe de loisirs, touchaient presque à leur fin.
Cette nuit-là, un incendie se déclara suite à la négligence d’un ouvrier du chantier. En un éclair, le feu se propagea à tous les étages, et en quelques heures, le bâtiment flambant neuf fut réduit à l’état de gigantesque carcasse métallique.
Depuis, l’immeuble était resté à l’abandon sans que quiconque y engage le moindre frais de démolition. Mais suite aux plaintes continuelles des habitants du quartier, décision fut prise de raser le bâtiment aux frais de la municipalité.
Audrey, responsable du chantier pour l’entreprise de démolition, montait au dernier étage. Elle avait pour tâche de reconnaître les lieux afin d’y déterminer le placement des explosifs.
Les ascenseurs étant hors d’usage, elle devait gravir les étages un par un par les escaliers de secours.
Après 15 minutes d’ascension, elle déboucha sur un couloir.
Cet étage, autrefois un restaurant panoramique, avait lui aussi brûlé du sol au plafond. Elle suivait un couloir en pente quand elle aperçut soudain une lueur trouble, à travers l’entrebâillement des portes métalliques des cuisines. En outre, on pouvait entendre un son répété : “whooosh, whoosh…”, semblable à celui d’un objet fendant l’air. L’électricité était censée être coupée… mais ne serait-il pas plus juste de dire qu’on ne l’avait jamais installée… ?
Un frisson parcourut son échine.
Pourrait-il s’agir de l’âme errante d’une victime des flammes ? Impossible. L’incendie avait certes été spectaculaire, mais aucun mort n’avait été à déplorer. Et quand bien même, les fantômes n’existaient pas !
Avec appréhension, Audrey s’approcha des portes d’où venait la lumière.
A l’instant même où elle risqua un regard dans la pièce, l’incroyable spectacle qui s’offrit à ses yeux lui coupa le souffle.
D’innombrables chandelles étaient à la source de cette lueur irréelle. A moins qu’il ne s'agisse de ces sortes de cierges utilisés en orient dans la liturgie bouddhique ? Etalées sur le plancher, elles éclairaient de leur flamme orangée des dizaines de mannequins en rangs serrés.
Mais au milieu de la salle se tenait non pas un mannequin, mais un homme, dans un curieux accoutrement.
Dénudé jusqu’à la taille, son torse était recouvert d’une sorte de motif aux traits serrés. On aurait dit de l’écriture chinoise. L’homme, masqué, portait un casque de samurai sur la tête, et se tenait, jambes fléchies, un sabre japonais entre ses mains.
“QUI RIT SOUS THE, GOMME HAAAAAINE !!!”*
L’homme accompagnait ce cri de grands moulinets de sabre désordonnés.
Les mannequins, taillés en pièces, s’abattirent pêle-mêle sur la marée de cierges. Leurs flammes se répandirent sur le sol.
Fantôme ou détraqué, quelle importance ? Il fallait fuir cet endroit au plus vite… Audrey tourna les talons et redescendit les étages, manquant de trébucher à chacun de ses pas chancelants.
Après cela, d’autres inspections furent menées au sommet du building, mais tous les visiteurs finissaient par s’enfuir à leur tour après avoir assisté à quelque scène insolite.
C’est ainsi que nuit après nuit, le samurai fantôme faisait son apparition. On ignore encore à ce jour quelle peut être sa vraie nature..
Source et version anglaise : https://www.reddit.com/r/translator/com ... a_3_story/
* référence à la formule “kiri sute gomen”, désignant à l’origine le droit pour les samurai à de tuer leurs concitoyens de classe inférieure à l’époque féodale. Elle peut aussi se traduire par “désolé de vous tuer/trancher”... https://fr.wikipedia.org/wiki/Kiri_sute_gomen
Building de Manhattan, 48e étage (USA).
Au milieu des gratte-ciel plus resplendissants de lumière que la galaxie elle-même, une unique tour se détachait, telle un bloc laqué de noir.
Il émanait une aura sinistre de son étrange silhouette. Cet immeuble high-tech, vide de tout éclairage, semblait surgir de nulle-part, tel l’antichambre de l’enfer.
L’accident s’était produit six mois plus tôt. Les travaux de cet immeuble de Manhattan, destiné à devenir un complexe de loisirs, touchaient presque à leur fin.
Cette nuit-là, un incendie se déclara suite à la négligence d’un ouvrier du chantier. En un éclair, le feu se propagea à tous les étages, et en quelques heures, le bâtiment flambant neuf fut réduit à l’état de gigantesque carcasse métallique.
Depuis, l’immeuble était resté à l’abandon sans que quiconque y engage le moindre frais de démolition. Mais suite aux plaintes continuelles des habitants du quartier, décision fut prise de raser le bâtiment aux frais de la municipalité.
Audrey, responsable du chantier pour l’entreprise de démolition, montait au dernier étage. Elle avait pour tâche de reconnaître les lieux afin d’y déterminer le placement des explosifs.
Les ascenseurs étant hors d’usage, elle devait gravir les étages un par un par les escaliers de secours.
Après 15 minutes d’ascension, elle déboucha sur un couloir.
Cet étage, autrefois un restaurant panoramique, avait lui aussi brûlé du sol au plafond. Elle suivait un couloir en pente quand elle aperçut soudain une lueur trouble, à travers l’entrebâillement des portes métalliques des cuisines. En outre, on pouvait entendre un son répété : “whooosh, whoosh…”, semblable à celui d’un objet fendant l’air. L’électricité était censée être coupée… mais ne serait-il pas plus juste de dire qu’on ne l’avait jamais installée… ?
Un frisson parcourut son échine.
Pourrait-il s’agir de l’âme errante d’une victime des flammes ? Impossible. L’incendie avait certes été spectaculaire, mais aucun mort n’avait été à déplorer. Et quand bien même, les fantômes n’existaient pas !
Avec appréhension, Audrey s’approcha des portes d’où venait la lumière.
A l’instant même où elle risqua un regard dans la pièce, l’incroyable spectacle qui s’offrit à ses yeux lui coupa le souffle.
D’innombrables chandelles étaient à la source de cette lueur irréelle. A moins qu’il ne s'agisse de ces sortes de cierges utilisés en orient dans la liturgie bouddhique ? Etalées sur le plancher, elles éclairaient de leur flamme orangée des dizaines de mannequins en rangs serrés.
Mais au milieu de la salle se tenait non pas un mannequin, mais un homme, dans un curieux accoutrement.
Dénudé jusqu’à la taille, son torse était recouvert d’une sorte de motif aux traits serrés. On aurait dit de l’écriture chinoise. L’homme, masqué, portait un casque de samurai sur la tête, et se tenait, jambes fléchies, un sabre japonais entre ses mains.
“QUI RIT SOUS THE, GOMME HAAAAAINE !!!”*
L’homme accompagnait ce cri de grands moulinets de sabre désordonnés.
Les mannequins, taillés en pièces, s’abattirent pêle-mêle sur la marée de cierges. Leurs flammes se répandirent sur le sol.
Fantôme ou détraqué, quelle importance ? Il fallait fuir cet endroit au plus vite… Audrey tourna les talons et redescendit les étages, manquant de trébucher à chacun de ses pas chancelants.
Après cela, d’autres inspections furent menées au sommet du building, mais tous les visiteurs finissaient par s’enfuir à leur tour après avoir assisté à quelque scène insolite.
C’est ainsi que nuit après nuit, le samurai fantôme faisait son apparition. On ignore encore à ce jour quelle peut être sa vraie nature..
Source et version anglaise : https://www.reddit.com/r/translator/com ... a_3_story/
* référence à la formule “kiri sute gomen”, désignant à l’origine le droit pour les samurai à de tuer leurs concitoyens de classe inférieure à l’époque féodale. Elle peut aussi se traduire par “désolé de vous tuer/trancher”... https://fr.wikipedia.org/wiki/Kiri_sute_gomen
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