Date canon : 1987.
Capcom ne pensait pas énormément aux continuités d’historique alors, et donc, l’intro de Final Fight statue qu’il prend place en 1989 (« quelque part dans les années 90 » a été ajouté par Capcom USA, mais n’est PAS dans la version Japonaise), mais plus tard, Capcom fut forcé de changer rétroactivement cela. Bien sûr, ils continuent de se baser sur cette date de sortie au moment où ils ont sorti Final Fight One pour la Gameboy Advance, malgré que cela entre en conflit avec tous les autres statuts et jeux. Arg. (Ca tu peux le dire !) Final Fight en tant que jeu était sorti en 1989, cependant, donc on peut imaginer qu’ils ont accidentellement utilisé la date de sortie à la place de la date de l’historique, car Final Fight se déroule avant Street Fighter Alpha 2, et SFA2 prend place en 1988, donc 1989 pour FF1 ne peut simplement pas convenir).
Gameplay: Final Fight 1 est un beat-em up bourrin, et largement considéré comme celui qui a révolutionné le genre (un genre qui semble à présent être passé de mode (pas si sûr à présent…)). A la base, vous choisissez un personnage puis allez de stage en stage en battant tous les voyous se trouvant sur votre route jusqu’à ce que vous atteigniez le dernier stage et battiez le dernier boss.
Histoire: Metro City est un cloaque envahi par le crime, où le tout puissant gang Mad Gear, dirigé par Belger, fait en gros tout ce qu’il veut. Le précédent maire était trop effrayé pour se charger de ce problème et s’opposer à eux, mais quand le nouveau maire, l’ex-catcheur professionnel, Mike Haggar, est élu, il fait le vœu de les stopper. En représailles à ceci, sa fille Jessica est kidnappée par Mad Gear et ces derniers tentent de le faire chanter en les laissant faire ce que bon leur semble, tout comme le maire précédent. Haggar, dans l’impossibilité d’agir en tant que maire, s’engage personnellement dans les rues avec à ses côtés le compagnon de Jessica, Cody, et Guy, un ninja moderne du Bushinryû. La voie du Bushin lui ordonne de combattre ce qui est mal comme Mad Gear, en dépit du fait qu’il ne connaisse même pas Jessica.
Guy, Cody et Haggar bottent quelques derrières et enfin, Cody envoie Belger voler par la fenêtre de son gratte-ciel rencontrer sa mort. Après avoir serré son père dans ses bras, Jessica voit que Guy et Cody sont déjà partis. Elle essaie de les rattraper et appelle Cody par son nom, mais Cody ne s’arrête pas pour elle. Guy (réalisant avec quelle grossièreté Cody se conduisait, sûrement. Ca ne pourrait pas être parce qu’il était attaché à Jessica car Guy n’avait jamais ne serait-ce que rencontré Jessica jusqu’à présent) le force toutefois à s’arrêter avec deux coups de poings rapides suivis d’un coup de pied le mettant à terre, puis s’en va pour laisser Cody seul avec Jessica. Cody déclare à Jessica qu’il doit continuer à combattre le mal dans les rues, ce qui explique pourquoi il ne peut pas rester avec elle tant que le mal n’a pas complètement disparu. Jessica, voyant quel héros il est, l’embrasse (Nd Hatsu : ça c’est du ending !).
Note: la dernière version de Final Fight 1, Final Fight One, pour la Gameboy Advance, a à présent des dialogues pour chaque boss et chaque personnage. En plus de cela, vous pouvez jouer avec les versions SFA3 des sprites de Cody et Guy, qui SONT réellement Guy et Cody de SFA3 téléportés dans le passé dans une intégration ridicule d’Oeuf-de-Pâques. Alpha Guy et Alpha Cody ne sont définitivement que des storylines Œuf-de-Pâques, et n’ont probablement JAMAIS été réellement téléportés dans le passé, et vous pouvez dire par le délire de leurs dialogues que Capcom faisait l’andouille et s’amusait, tout simplement. Cependant, Alpha Cody et Alpha Guy DONNENT bel et bien de sérieuses indications sur ce qui est arrivé dans le canon aux Cody et Guy normaux. Par exemple, dans le combat d’Alpha Cody avec Rolento, Alpha Cody se souvient de comment, dans le passé, il n’est jamais allé à la section industrielle et est passé par la Bay Area juste après avoir battu Edi. E. Ceci confirme que dans le canon actuel, Cody version « normale » a battu Edi. E puis a contourné la section industrielle par la Bay Area dans l’historique officielle actuelle, car Alpha Cody se souvient de ce qui lui est arrivé dans le passé quand il n’était que le Cody plus jeune au moment où FF1 s’est vraiment produit. Bien sûr, le vrai Cody agissant dans Final Fight EST arrivé, donc on admettra que Alpha Cody n’a pas menti quand il parle de ce passé et que ce passé est ce qui s’est réellement produit dans l’historique canon. De toute manière, le dialogue a été transcrit (par l’auteur), et, comme beaucoup d’autres FAQS de dialogues pour différents jeux de Street Fighter, doit être disponible à gamefaqs.com (dans ce cas, section Gameboy Advance), si vous désirez le voir. Notez, cependant, que le fait que Cody dise qu’il a évité la section industrielle est une référence au portage Super Nintendo de Final Fight, où l’Industrial Area avait du être coupée par manque de place.
Oh, Final Fight était la série sœur de Street Fighter ou quelque chose de ce genre. Street Fighter couvre l’aspect un-contre-un du combat et Final Fight couvre l’aspect « bourrin ». Depuis cependant, il semble que la pauvre série de Final Fight se soit éteinte après Final Fight 3 (avec le genre entier du beat em’ all). Bien sûr, elle pourrait faire son retour avec Streetwise (Nd Hatsu : -_-,)
Liste des boss (dans l’ordre):
1. Damnd
2. Sodom
3. Edi. E
4. Rolento (coupé de la version SNES par manqué de place)
5. Abigail
6. Belger
(Capcom sortirait plus tard un jeu appelé Mighty Final Fight pour la NES, où Belger, maintenant un cyborg, est amoureux de Jessica et la kidnappe de nouveau. Le jeu est TRES comique, sans rien de sérieux, donc il semble très douteux qu'il soit canon.)
Notez que le chien dans le décor de la Bay Area s’appelle Shiro.
Haggar étant le « tout nouveau maire » est un ajout de la version US. La version japonaise dit seulement « le maire ». Il a été, après tout, élu environ à l’époque de Slammasters, ce qui n’est pas très nouveau…
Note : Final Fight s’appelait à l’origine Street Fighter ’89 et eut tant de succès qu’il fut en partie ce qui poussa Capcom à créer SF2 (info issue de The Making of Street Fighter).
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