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Biographies

 

EDMOND HONDA

Date de naissance : 3 Novembre 1960.
Taille : 1 m 85.
Poids : 137kg
Mensurations : B212, W180, H210
Groupe sanguin : A
Nationalité : Japonaise.
Aime : les bains, le Chanko Nabe (une sorte de soupe que mangent les lutteurs de sumo).
N’aime pas : l’indécision
Technique de combat : Sumo.

 

il n’était pas jouable, mais fit une brève apparition dans le ending de Sodom. Sodom rendit visite à E. Honda et le défia pour faire de E. Honda un membre de Mad Gear. Le match était amusant, mais apparemment, E. Honda a gagné (info basée sur SFA2 et les dialogue de SFA3).

 

E. Honda veut trouver des adversaires de valeur et leur montrer la force du Sumo. Espérant trouver des adversaires plus forts, il part en voyage. Il affronta Ryu dans un match amical, et fut probablement amené à revoir Sodom. Et il indiqua à Sakura (et peeeut-être aussi à Juni) où se trouvait Ryu. C’est sûrement à peu près tout (Conjecture basée sur la storyline du jeu). Il est indiqué dans Street Fighter Eternal que sa coopération avec Zangief pour l’aider à abattre Shadaloo est arrivée d’une manière ou d’une autre. Peut-être son ending de SFA3, où il trouve quelques Dolls après l’explosion de Shadaloo puis les héberge pour quelques temps parce qu’elles ne pouvaient même pas se souvenir de leurs propres noms, s’est aussi produit (il y avait au moins trois Dolls, bien que la paresse de Capcom utilisant des sprites de Juli et Juni pour toutes les Dolls dans les endings ne donne pas beaucoup d’indications pour savoir de quelles Dolls il s’agissait). E. Honda leur dit qu’elles pouvaient partir si elles le souhaitaient une fois qu’elles auraient retrouvé la mémoire.

 

E. Honda vs Ryu : E. Honda et Ryu se battent pour le fun. Ce combat a eu lieu. Il en est fait allusion dans Sakura vs E. Honda. (Il est peut-être aussi partiellement inspiré de la relation entre Ryu et Honda dans le premier anime.)

E. Honda vs Sodom : E. Honda et Sodom se rencontrent à nouveau. Ce combat peut avoir eu lieu. C’est probable, mais sans importance de toute façon. Il s’agit d’une autre rencontre amicale ou quelque chose de ce genre.

E. Honda vs Bison : comme tous les combats de boss avec Bison dans SFA3 à l’exception de ceux confirmés, celui-ci n’est pas arrivé.

 

E. Honda rejoint le tournoi de Street Fighter 2 quand il entend que beaucoup de gens dans le monde ne considèrent pas le Sumo comme un véritable sport. Il veut à présent prouver le pouvoir du Sumo au monde entier (Officiel). On ne sait pas si il a réussi ou non, mais on peut imaginer qu’il a fait une assez bonne prestation et ainsi prouvé à la plupart des gens qu’au moins le Sumo était un sport respectable.

 

Il est lutteur de Sumo, comme toujours. Et il entraîne toujours ses étudiants, bien sûr.

NON CONFIRME: Honda n’est pas retourné au sumo professionnel après sa participation au tournoi de SF2.

 

Selon une note du site de SF2 Anniversary : zélé dans l’effort et la disposition de l’esprit du sumo. Un esprit obstiné qui déteste fléchir.

E. Honda selon Gamest SF2 : (Traduction approximative.)

Il est un sumotori. Du jour au lendemain, il partit sur ces mots « Le monde doit connaître la magnificence du sumo. » C’est vrai, il a une personnalité assez extravertie et pleine d’entrain. Quel est le problème d’avoir pour étendard la lutte japonaise !? Le doute est-il permis ? L’étendard de la lutte entreprend de temps en temps des « tournées provinciales ».

Cependant, il sautait et attaquait du pied, pensant que ceci serait perçu séparément de la gloire du sumo. Sur son visage, il appliqua de la peinture à titre d’exotisme nippon, mais surtout comme couverture, car de telles choses n’existaient pas chez les sumotori. Si ses pairs qui aspiraient à la tête d’affiche, apprenaient ces faits, ils s’en désoleraient certainement. Mais le sous-vêtement était une bande-culotte de sumo rouge. La largeur du vêtement lui permettait de gagner avec fougue en projetant son adversaire sans contact rapproché.

Ses mouvements mortels sont le « hyakuretsu harite » fendant l’air, et le « super headbutt ». En particulier le super headbutt, le chignon ayant un os de poulet grillé caché à l’intérieur.

Lors des combats de rue, il se présente comme « un lutteur de sumo japonais », sa principale activité étant après tout le sumotori. Il ne manque jamais de prendre tous les matins son repas à base de chanko nabe (plat traditionnel des sumo cuit en ragoût). Il cherche à atteindre le rang de yokozuna, et enfin, sa propre force. Il est déjà devenu un maître du combat après tout.

E. Honda n’est jamais devenu Yokozuna, il a été jusqu’au grade de Ôzeki (juste avant celui de Yokozuna), puis est parti parcourir le monde. Rikishi est un terme général pour désigner les lutteurs de Sumo, au cas où vous ne vous en étiez pas doutés.

Le prénom de Honda est bien Edmond. C’est statué dans son prologue quand on le joue dans SFA3.

Les étudiants de E. Honda montrés pendant son ending de SF2 sont Hatonoyama, Marunoumi, Yasuhanada et Nishinofuji (Nd Hatsu : Il s’agit probablement de pseudonymes, comme c’est la coutume dans la milieu du Sumo). Il n’est pas devenu un professeur de Sumo pour les Dolls, apparemment (tous ses étudiants sont des garçons, après tout), donc on peut estimer que son ending de SFA3 n’est qu’une plaisanterie. Il y a cependant une chance pour qu’il en ait trouvé deux, les ait emmenées, et qu’elles soient parties avant Street Fighter 2, puisqu’il leur a dit qu’elles pouvaient partir après avoir regagné une partie de leur mémoire.

Sodom a défié E. Honda pour faire de lui un membre de Mad Gear dans SFA2. La référence l’appelle « Fujinyoma », mais All About SFZ2 confirme qu’il s’agissait de E. Honda. Peut-être a-t’il pris un pseudonyme comme couverture, comme on lui a vu faire avec sa peinture faciale selon le statut d’HnN) (Nd Hatsu : je pense plutôt qu’il s’agit tout simplement de son nom de sumotori, comme je l’ai dit plus haut, les lutteurs de sumo ne se battent pas sous leur nom d’état civil.). E. Honda y fait allusion dans SFA3, donc on sait que c’est arrivé. E. Honda semble avoir gagné le match, cependant lui et Sodom continuent de se respecter profondément l’un l’autre.

E. Honda aime ses compatriotes. Selon l’historique, il a probablement rencontré et affronté Ryu durant SFA3, comme on le voit dans plusieurs dialogues (Nd Hatsu : et même ds l’anime : « Entre Japonais, il faut savoir s’entraider ! »), et il s’entend également bien avec Sodom, qui est quasiment japonais… ou du moins essaie très fort de l’être… Cependant… E. Honda est en général quelqu’un de très extraverti qui aime tout le monde, semble-t’il. Même devant Bison se révélant comme mauvais, E. Honda fait cette remarque : « Ne dis pas des choses de ce genre ! Ca te donne l’air d’un méchant ! »

Zangief, selon Street Fighter Eternal, connaît E. Honda. Dans SFA3, Zangief et E. Honda se rencontrent dans le ending de Zangief au sein de la base de Shadaloo (E. Honda a entendu parler de terribles dealers de drogue et est parti mener l’enquête lui-même) et tous deux font équipe pour détruire la Psycho Drive (Nd Hatsu : d’une manière particulièrement équivoque d’ailleurs. ^^,). Considérant que c’est Charlie qui, de manière officielle, a détruit la Psycho Drive en la faisant exploser, on ne sait pas trop comment le ending de Zangief s’adapte aux évènements…

La relation dans SF Eternal qualifie Zangief et E. Honda comme « Ames sœurs » ou « Camarades ».

E. Honda aime le Tiramisu. C’est un gâteau infusé dans un liquide comme du café ou du rhum, avec une couche épaisse de fromage, et saupoudré de chocolat râpé.

Il perturbe et dérange souvent ses voisins en hurlant dans un micro raccordé à d’énormes enceintes, se vantant de son régime d’entraînement éreintant et de ses prouesses au combat.

Voici quelques éléments de HnN concernant la peinture faciale de Honda. Apparemment, il enquêtait sur Shadaloo parce que des sumos consommaient des stupéfiants durant SF2, avant même que sa storyline « enquête sur Shadaloo » n’ait été écrite pour SFA3. (Traduction approximative.)

Dans l’ombre avec Honda…la rumeur n’est que peu répandue- récemment, dans le monde du sumo, des incidents dus à la fatigue se produisaient à répétition.

Avec l’entraînement des lutteurs japonais, on dit que des choses comme la fatigue sont le résultat d’accès de rage subits. Un tel degré dans la colère est rarement atteint.

En enquêtant sur les circonstances de ce facteur, la piste des narcotiques se dissipa, les organisations de trafic de drogue s’accommodant facilement d’un homme seul. Il est vrai aussi que cet homme était Honda, qui commença à maquiller son visage.

En arrêtant avec succès des dealers de drogue, Honda entendit parler du cartel de drogue nommé « Shadaloo ». Cependant, l’entité Shadaloo était un mystère total, et son enquête s’en retrouva au point mort. C’est alors que la décision de Shadaloo d’organiser un tournoi à l’échelle mondiale arriva à ses oreilles via les médias. C’était l’occasion pour Honda, que sa main secourable n’allait pas manquer de saisir…

A ce moment, son apparence attirait terriblement l’attention, le nom de Edmond Honda étant la manifestation d’un héritage métis, en peignant son visage, il cachait sa face nue. Pourquoi ce maquillage ? C’est ce qu’il faut quand on se lance dans une vie de traque silencieuse de Shadaloo et que ceux-ci ne doivent pas le savoir, et, armé des grands principes du sumo, pour répandre la justice dans le monde entier par la magnificence de ses mouvements, il devint un street fighter.

Comme on le comprend, le maquillage facial de Honda est destiné à ses investigations top-secrètes.

Le nom du stage de E. Honda dans SF2 se traduit en gros par "Ajoutant de l'eau chaude aux herbes médicinales et une maison de bains". C'est une assez mauvaise traduction. Son stage de SFA3 a pour nom quelque chose comme "Higashikomagata - Katomi kontô, Japon". Si l'on en juge par les positions sur la carte, Honda doit être de Tôkyô.

Voici la réponse du mook HnN à la question numéro 19, « Pourquoi y a t’il un ring dans la salle de bains du stage de Honda ? » (Traduction approximative.)

On dit que Honda s’est entraîné d’arrache-pied dans le monde du sumo. Il devint un street fighter en cherchant d’autres lieux pour s’exercer, afin de n’être handicapé par aucun type d’espace. Il remarqua alors cet endroit déshérité, et se dit “C’est mon lieu de conditionnement.” Il répondait à deux critères.

Pour ce qui est de cet endroit, comme lieu d’entraînement pour Honda, tous les éléments désirés étaient présents. La première condition était que l’estrade était mauvaise. Ceci renforçait le sens de l’équilibre d’une part, et d’autre part, les jambes et les reins étaient endurcis jusqu’à la limite du possible. Le second intérêt était que, après l’entraînement, la sueur coulait immédiatement. Ceci s’explique probablement en particulier par la mentalité des japonais. En plus de ceci, le loyer est peu élevé, la surface était large, les murs solides, etc… Cet endroit était autrefois un établissement de bains.

Cependant, en dehors des pratiques mentionnées ci-dessus, le lieu d’entraînement était aménagé. Du matin à midi, une corde est posée au-dessus du mince carrelage, qui peut faire office de ring. Puis le soir, si un invité se présente aux bains, la corde est enlevée, et remise au besoin. Honda et ses élèves, après l’entraînement, se baignent dans la baignoire unique, évacuent l’eau chaude, nettoient, et font évaporer l’eau restante. Ceci devait être un des critères de choix de ce lieu.

Son surnom de SSF2 se traduit en gros par "le dixième jeu de la main Hari", ou "Le match de frappe du No. 10". Son surnom de CvS est "L'Excitant pouvoir du Sumo". Son surnom de SFA3 est "L'aventurier chanceux du monde du sumo".

Doubleur de SFZ3 - Masashi Sugawara

 

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